Un endroit bien tranquille...[privé]

Il s’appuya sur un réverbère, puis il poussa un bref petit soupir, Athrun regarda le ciel étoilé, quand soudain une mélodie fort familière retentit. Le jeune homme plongea sa main gauche dans son sac, il en sortit un PCP.

« Allo ? » Dit il.

Athrun reconnu la voix de sa mère, comme à son habitude, elle lui demanda quand il reviendra.

« Non mère ce n’est pas envisageable, je ne reviendrai pas à la maison, j’ai des affaires qui me retienne ici. »

Athrun entendit sa mère commencer à sangloter, comme à chaque fois qu’il lui disait qu’il ne rentrerait pas. Depuis cinq années le jeune homme ne donnais que très peu de nouvelle et ces parents était du genre inquiet, enfin son père avait tenté de la dissuadé dans son choix.

« Mère ne soyez pas triste et dites à père que je me porte bien. »

Il dit cela avec un air embarrassé.

« Je dois raccrocher, au revoir mère. » Mais il se dit qu’il fallait qu’il fasse en sorte de leurs donné d’avantages de nouvelle pour être plus tranquille à l’avenir.

« Mère je vous aime vous et père êtes mes parents, mais j’ai aussi ici quelqu’un qui m’est très cher je ne peux l’abandonner. » Athrun raccrocha très vite.

Il se retourna, et se ré appuya sur le réverbère, mais il repéra un banc, il réfléchit trente seconde et alla s’asseoir sur le banc précédemment repérer…

Il faisait jour, enfin le programme de la station simule la jour, Athrun ne c’était jamais vraiment habitué a la vie dans cet endroit, la seule personne pour qui il restait c’était elle, il c’était promis de prendre soin d’elle pour toujours.

Pendant ce temps, Aiko ressortait d'une pratique de chorégraphie avec des élèves intermédiaires. Elles en ressortaient toutes, encore dans leur habit de danse suggéré par l’enseignante. L’école les approuvait après les avoir vu et que le sigle de l’école a été brodé dessus. Celui d’Aiko était un habit de ballet bleu azur avec des leggings gris ternes et des shorts sport vert pastel avec les souliers réglementaires. Encore en sueur, serviette autour du cou et le rythme encore la peau, Aiko et quelques élèves prenait le chemin au vestiaire, coupant par l’aide de repos. Le PCP d’Aiko, ayant été trafiqué par cette dernière, bondissait au sol faisant encore jouer la mélodie sur laquelle elles travaillaient. Il s’amusait même à chanter dessus. Plusieurs suspecte qu’Aiko ait mi un modulateur de personnalité, mais tous adorait ce qu’elle avait fait donc personne se plaignait. Elle lui donna même un nom, Cristal, ainsi qu’un sexe. Certes ce n’était pas très original, mais un PCP mâle portant ce nom, si. Soudain, Cristal s’arrêta de chanter et la musique diminua en son. Il interpella son maître en bondissant joyeusement.

« Maître! Maître! Regardez! Regardez! »

Aiko se retourna et vit son cher ami. Les élèves ricanèrent entre elle, se disant entre elles qu’il devait attendre quelqu’un ou plus tôt quelqu’une. Naïve ou plutôt névrosé comprenant avec difficulté les indications discrète ou le sarcasme, elle ne comprit pas ce que les filles tentaient de lui dire. Elles encerclèrent Aiko et lui suggéra d’aller le voir et de le surprendre. Toutes étaient d’accord avec le plan, mais Aiko avait la charge des filles. Elles lui promirent qu’elles iraient toutes au vestiaire et qu’elle ferait tout ce qu’elle aurait fait si elle avait été présente. De plus, les petites dames avaient d’autre cours au courant de la journée, mais pas Aiko. Aiko accepta les termes.

« Mais si je vous prends ailleurs ou que j’entends des choses qui on eu lieu, mais qui ne devait pas se passer, vous êtes toutes mortes! Compris?! » Les sermonna-t-elle.

Elles acceptèrent et partirent. Aiko s’accroupis et regarda Cristal avec un sourire des plus vile et mesquin. Elle lui fit signe d’être silencieux et de la suivre. Elle alla dans le petit bois entourant les chemins de l’air de repos et s’approcha silencieusement d’Arthrun sur son banc, arrivant derrière lui. Puis, elle l’attaqua en mettant ses mains sur ses yeux. Puis, Cristal bondi sur les genoux d’Athrun.

« Qui c’est? Qui c’est? » Dit-il excité avec Aiko ricanant derrière.

Surpris, Athrun Sursauta un peu, mais quand il entendit la voix de la personne qui vint le prendre et en humant son odeur, il reconnu qui s’amusait à lui faire ce petit tour.
Le jeune homme posa ces mains sur celle de la personne qui lui bouchait la vue et prononça ces mots.

« Aki-chan, j’ai failli avoir une crise cardiaque fait attention. »

Athrun se leva sa main dans celle d’Aki-chan, il la regarda de haut en bas et pris un air des plus sérieux.

« Aki-chan tu devrais faire attention regarde comment tu es habillé. »

Réagissant comme à son habitude en protecteur, il se dit que ce n’était pas bien grave et que qu’il devrait perdre cette habitude de la sermonner.

Tout en caressant sa main il allait finir par lui poser une question des plus fatidiques.

« Tu ne devrais pas encadrer des élèves en ce moment dit moi ? » Dit il perplexe.

Lorsqu’Athrun sursauta, Aiko eut de la difficulté à retenir son rire. Elle pensa donc qu’il devait être dans ses pensés avant qu’elle n’arrive. Cependant, futé comme toujours, Athrun devina rapidement que c’était elle qui l’avait attaqué si sauvagement. Il porta ses mains sur celle d’Aiko. Puis, encore une fois, il se plaignit en lui racontant des salades ce qui brisa l’enthousiasme d’Aiko et de Cristal. Cependant, elle ne perdit point son sourire, septique des dires tirés des cheveux.

« Aller Zala-kun, je sais que ton coeur est plus fort que ça! »

Il se leva ce qui fit tombé Cristal, mais futé, il devina le mouvement à l’avance et bondi sur le banc. Athrun, lui tenant une main, la regarda avec sérieux et elle avec un semi sourire amusé. Elle vit son regard se posé sur elle et l’étudier du regard. Elle se prépara à un autre sermon de sa part. Elle le regarda, mécontente. Puis, ce fut à son tour de se plaindre.

« Il est peut-être outrageux, mais il est le plus décent dans tout les habits de danse que j’ai pu voir de ma carrière de danseuse... »

À côté sur le banc, Cristal sauta à ces paroles.

« C’est vrai! C’est vrai! »

Certes, l’air enragé d’Aiko parti rapidement en regardant Cristal sauter comme il le faisait. Puis, il fit place à un petit sourire quelque peu timide en se rendant compte qu’Athrun lui caressait la main. Cependant, ce sourire timide parti pour laisser place à un sourire des plus confiants. Elle chevaucha le banc, tenant plus fermant la main d’Athrun, pour s’asseoir sur le dossier de ce dernier. Par la suite, elle libéra sa main de celle d’Athrun.

« Je les ai laissé au vestiaire. De plus elle voulait absolument que je vienne à ta rencontre. Je ne sais pas ce qu’elle avait en tête, mais elle était convaincue que tu attendais que quelque chose de miraculeux arrive ou quelque chose du genre. J’ai de la difficulté à les suivre et ce psychologiquement car physiquement, elles ne pourront jamais me vaincre, par vrai Cristal? »

Ce dernier sauta sur les genoux de sa maîtresse.

« Oui maître! Vous êtes la meilleure, vous êtes la meilleure! »

Athrun se faisait petit quand Aiko se mettais à parler ainsi, il ne savais quoi lui répondre exactement, il posa sont doigt sur la bouche d’Aki-chan et lui fit un grand sourire.

Puis tout en la regardant dans les yeux il pris un de ces air compréhensif.

« Très bien je te crois, tu es une jeune femme responsable après tout, tu n’est plus en âge de recevoir des sermon comme je t’en fait. »

Mais pourquoi n’arrivait il pas a décrocher son regard du sien ? Peut être parce qu’elle est agréable à regarder ? Il ne voulais pas ce poser ce genre de question, après tout il n’a jamais tenter quoi que se soit pour faire évoluer leur relation. Quand Cristal ce mis a parlé, Athrun sortit de ces penser. Tout doucement il acquiesça aux dires du PCP d’Aiko.

« Je suis d’avis avec la bestiole, tu es la meilleure. » Dit il sur un ton Taquin.

Il songea à une chose concernant les élèves dont Aki-chan avait la charge.

« Je pense que les élèves dont tu t’occupes, sont les mêmes à qui j’enseigne la sociologie. »

Il poussa un petit soupir, et repris la parole.

« Elle me demandait pourquoi je ne sort pas avec toi apparemment, elles ont réussie à me faire rougir sur le coup. »

Athrun un peu gêné se gratta la tête, c'est un tic nerveux chez lui quand quelque chose l’embarasse.

Lorsqu’elle avait eu fini d’éclaircir les soupçons d’Athrun, ce dernier lui posa un doigt sur ses douces lèvres pour la faire taire. Elle fut surprise sur le coup et arrêta net tout mouvement. Elle leva simplement son regard cristallin qui croisa le regard verdâtre. Il reconnu qu’elle avait grandi depuis la première fois qu’ils s’étaient rencontré et qu’elle était assez mature pour s’occupé d’autre. Il enleva sa main lorsque se mêla Cristal, sortant Athrun des yeux d’Aiko. Tous semblaient s’y perdre à chaque fois qu’il y regardait. Elle savait bien que ses yeux étaient étranges, pas besoin de les fixer pour autant.

Il regarda ailleurs, feignant rien ou fuyant son regard. Il porta une supposition sur les élèves qu’elle s’occupait. Elle était qu’elles étaient ses élèves et que c’était les mêmes qui lui pausait un tas de question sur sa relation avec Aiko. Il ajouta même une question pertinente qu’elles lui avaient posée. Elle la fit rougir légèrement, comme Athrun lorsqu’elle le lui avait posé. Aiko prit entre ses mains Cristal et le regarda, ne voulant croiser celui d’Athrun.

« Bien elles ont des preuves solides de supposé ce genre de choses... » Dit-elle d’une douce voix.

« Nous sommes souvent ensemble; nous mangeons ensemble; nous rentrons ensemble; puis nous vivons ensemble. D’autant plus que nous nous connaissons depuis une dizaine d’année... »

Les mains d’Aiko se mirent a tremblé légèrement. Son sourire serin disparu et son rythme cardiaque se mit à élever, sa respiration suivi de près. Ses yeux de couleur cristal si brillant perdit de leur lueur. De plus ses paupières clignaient beaucoup plus que d’habitude. Des fragments des moments passés rejouaient dans sa tête et plus qu’ils approchaient de leur rendez-vous sous la pluie de météorite, plus son rythme cardiaque s’élevait et qu’elle semblait livide.

« Attention, rythme cardiaque élevé. Activités cérébraux anormaux. » Dit Cristal d’une voix affolé dans les mains tremblantes d’Aiko.

Cependant, ceci était un état de crise mineur et qui pouvait être arrêté facilement. Ceci arrivait assez souvent lorsqu’elle se remémorait un certain passage de sa vie, le reste venait automatiquement jusqu’au jour où elle fut enlever. Cependant, si elle réussissait à se rendre jusqu’à, c’était directe à l’infirmerie pour une injection de tranquillisent car elle était impénétrable par la parole rendu à ce point.

Un début de crise commençait, Athrun se hâta, bien qu’elle ne soit que très peu réceptive dans ces cas la il tenta quelque chose.
Il pris son visage entre ces deux mains et il la regarda droit dans les yeux, un air plus qu’inquiet s’affichant sur visage.

« Aki-chan reste avec moi… »

Puis il la serra très fort dans ces bras, essayant de ne pas l’étouffer, il commença à lui caresser la tête, doucement.

« Calme toi, calme toi… Ne pense plus a rien ma Aki-chan. »

Athrun la fit s’asseoir et il fit de même se demandant si il arriverai à lui faire retrouvé son état normal
.
Il lui répéta les mots qu’il lui avait dit précédemment.

« Aki-chan reste avec moi, ma peur la plus profonde est de te perdre, je n’aurais plus aucun but dans la vie, revient a toi. »

Il dit cela sur un ton des plus dramatique, essayant de ne pas perdre ces moyens et de ne pas céder a la panique.

Pendant ce temps, Aiko avait lâché Cristal. Elle tomba sur le sol, mais n’eu aucun dommage. Il continuait de vérifier fréquemment l’état d’Aiko. Il ne bondissait plus, il ne faisait que regarder de son perchoir qui était le sol. Quant à Aiko, elle semblait sombrée et sombrée encore. Les premières manœuvres d’Athrun ne firent pas grand-chose extérieurement, mais intérieurement, ce fut tout autre chose. Les moments s’entremêlaient, allant du futur au passer en sautant toujours les moments les plus tragiques. Le l’eau s’est mit à s’accumulé dans les yeux d’Aiko. Des larmes naquirent donc, vécurent sur ses jours et perdit vie sur ses douces lèvres. D’un coup, elle se mit à revivre un moment.

« Rythme cardiaque dangereusement élevé! Activités cérébraux à un point culminent! » S’inquiéta Cristal.

La respiration d’Aiko était saccadé, elle s’emblait s’étouffé avec quelque chose. Des larmes coulèrent en compagnie de bruit d’affolement. Ses yeux se mirent à regarder partout, cherchant quelque chose du regard. Elle s’agrippa après Athrun, tenant fermement sa chemise entre ses mains. Aiko perdit pied, enfin c’est ce qu’elle cru car Athrun l’assoie, il la suivit de près. Il la reprit à ses côtés, la menant contre son corps. Elle ressentit donc une douce chaleur, son regard effrayé alla se posé dans celui d’Athrun. Une des mains s’éleva alla lui touché la joue.

Enfaîte, Aiko revivait l’instant qu’elle avait prit conscience alors qu’elle était toujours émergé dans le tube. Elle s’affolait et se débattait comme elle l’avait fait la première fois. Certes, la présence extérieure d’Athrun la fit voir un reflet dans la glace, Athrun tel qu’il l’était la dernière fois qu’elle l’avait vu. Elle mena sa main contre la glace et sa main traversa cette dernière pour toucher véritablement la joue d’Athrun.

Lorsqu’elle lui toucha la joue, la vision s’estompa ainsi que le souvenir. Il disparu comme la peur subite qu’elle venait de revivre. Elle avait levé la main après les dernières paroles d’Athrun, elle ne les avait guerre entendu, comme toutes celles qu’il avait dit d’ailleurs.

« Rythme cardiaque reprend peu à peu leur vitesse habituelle! Activités cérébraux reviennent à la normal! »

Les larmes se mirent à couler deux fois plus fortes. La main d’Aiko descendit pour rejoindre l’autre sur le torse d’Athrun. Elles se crispèrent après sa chemise. Sa tête s’y accota en sanglotant fortement, tout aussi fortement que le jour où elle est revenu d’on ne sait où.

« Athrun! » Dit-elle submerger de joie de savoir qu’il est réellement là. « Oh Athrun!! »

Aiko retrouva son calme, la tempête était passée. La jeune femme se blottit contre Athrun tout en sanglotant. Il la serra très fort contre lui, il ne voulais plus la lâcher, le jeune homme ne compris pas trop ce qui avait provoquer cela aussi il essaierait de ne plus reproduire les conditions de la crise qu’a faite Aki-chan.

« Voyons ne pleure plus, je suis la sa va tout va bien. »

C’était un euphémisme, pendant sa crise c’était comme s’il n’était pas la, elle ne prêtait même pas attention à ce qu’il avait dit.
Quelque chose en lui, lui fit comprendre quelque chose, bien qu’il vivent ensemble il ne c’était jamais dévoilé à elle, il savait bien que ce n’était pas le moment, mais il voulu le tenter.
Athrun regarda Aki-chan et tint son menton avec sa main droite, il approcha son visage du sien de plus en plus. Un bruit sourd produit par des lèvres touchant d’autre lèvres, Athrun vint de faire un baiser volé à Aiko.

« Aki-chan, je t’aime. » Dit il.

Comment allait réagir la jeune fille à présent.

Après c'être blotti contre lui, l'ayant interpellé quelque fois, il la serra contre lui. Elle ne pu contenir ses larmes tels sa frayeur ayant été grande. Elle avait le sentiment profond de la peur, de l'angoisse et de la peine, mais elle n'avait pas les mémoires qui étaient associés à ses émotions. Depuis qu'elle est revenus d'on ne sait où, elle perdait souvent trace de ses mémoires. Elle ne s'en inquiétait presque plus.

Athrun tenta de son mieux de la calmé, ce qui fit un peu de bien a la jeune dame. Le sentir sur proche d'elle, lui parlant aussi doucement la calma un peu. Ses larmes devenait moins présente, il ne restait que ceux déjà entamé et ses joues humide de ces larmes sallé. Puis, sa tête fut levée par la main d'Athrun, la tenant par le menton. Elle le regarda dans ses yeux, que voulait-il faire? Elle le sut rapidement en le voyant, son visage, se r'approcher du sien. Elle n'eut que le temps de comprendre et de rougir grandement qu'il déposa ses lèvres sur les siennes et revenir à sa posture initual.

Il lui révéla ses émotions réeles. Le coeur d'Aiko s'emballa, mais Cristal n'averti personne, il savait ce qui se passait et avait même enregistré les douces paroles d'Athrun, comme preuve et aussi pour son amusement personnel. Quant à Aiko, elle était bouche bée. Elle se mordit la lèvre inférieur et déviant son regard de celui d'Athrun les joues rosés. Elle ne savait que dire ni pensé. Depuis tout ce temps, il l'aimait donc? Elle ne le croyait presque pas, malgré leurs différents et ses problèmes mentaux, il éprouvait ce genre d'affection pour elle?

«Athrun je...» Dit-elle, ne savait que dire.

Athrun la voyant extrêmement gêné, commença à réfléchir et avant qu’elle ne termine sa phrase, il se dit qu’il fallait mieux revenir sur sa parole. Il pris son air sérieux et se concentra car ce n’était pas facile.

« Non ne dit rien, ce n’était que pour attirer ton attention, je vois que tu es belle et bien sortit de ta crise. »

Qu’elle excuse puérile, il avait réussi à lui dire le fond de sa penser, Athrun s’en voulais beaucoup.

« Désoler c’était une mauvaise farce. Mais il est vrai que je t’aime beaucoup »

Il fuyait le regard d’Aki-chan pour mieux pouvoir lui mentir, car Athrun savait qu’elle sais à quel moment il pouvais mentir car ce n’était point dans son genre.

Comment allait elle prendre cela il se le demandait.

Lorsqu'elle avait fini par trouver quelque chose, Athrun la coupa. Lui disant que c'était que pour voir si elle avait belle et bien fini avec sa crise. A mi chemin dans ses dires, elle c'était retournée, intrigué par la suite de ses mots. Elle le regard, les yeux grand et la bouche légèrement entre ouverte, comme si elle venait de manger un coup. Il s'excusa de la manière qu'il s'était prit en évitant de la regarder et confirma qu'il l'aimait grandement et ce en ami.

Aiko baissa la tête a un point que si Athrun tentait de voir son regard cristallin, il n'allait jamais en être capable. Un court silence ce posa, un qui était le double pour Athrun, attendant toute réaction plausible d'Aiko. Aiko serra les points et dans un cri de colère poussa Athrun tellement fort qu'il tomba en bas du banc. Elle mit à l'engueuler comme jamais elle ne l'avait fait.

« Espèce de... de... BAKA! BAKA! BAKA! BAKA! BA-KAAAAAAAAAAAAAAA!!!!!!! »

Elle allait pour continuer dans une nouvelle vague alors que Cristal se mit a sonner. Aiko se retourna vers Cristal, figé de peur. On peu entendre la voix d'une de ses étudiantes qui l'appelait, la prof de danse se ramenait au vestiaire. Aiko se leva rapidement et prit Cristal entre ses mains.

« J'arrive le plus vite que je peux!! » Lui dit-elle.

Elle passa rapidement en évitant de marché sur Arthrun, toujours au sol. Puis, reprit chemin sans ajouter de mot à Athrun, préoccupé par la venu de la prof de danse. Si elle se faisait prendre à être ailleurs, elle risquait grandement de perdre des privilèges. Elle laissa donc Athrun, partant en courant aussi vite qu'elle le pouvait pour que rien de grâce ne lui arrive. Cependant, qu’elle fut assez loin, elle laissa libre court à ses pleures en écoutant les parole d’Athrun que Cristal avait enregistré après qu’il l’avait embrassé, ceux lui disait qu’il l’aimait.

Il venait de se manger un gros coup, Aiko l’avait frappé assez fort pour qu’il se retrouve à terre. Athrun se releva tout en s’appuyant sur le banc pour retrouver un équilibre, il fini par s’asseoir.

*Je…J’ai été stupide, pourquoi j’ai fait ça ?*

Une larme coulant sur sa joue, Athrun ne savait décidément pas s’y prendre avec les filles et surtout avec celle qu’il aime. Baka, baka… C’est mots résonnait comme des tambours dans la tête d’Athrun, il avait peut être perdu une réel occasion de se dévoiler à elle.

Le jeune professeur, se releva et pris ces affaires et s’épousseta le derrière.

*j’ai été pire que le dernier enfoiré ce coup ci, comment me rattraper ?*

Il cherchait comment se faire pardonner, mais peut être que le temps était le meilleur remède à la situation, il se mis à marcher et se mis à marcher très vite vers la sortit de l’air de repos.

[==>Quelque part]

» Tranquille en train de jouer de la musique